Après la chute d’Ali Bongo, Olam et Arise défendent leurs investissements au Gabon

Terminal à conteneurs d’Owendo, de la Gabon Special Economic Zone, gérée par Arise. © GSEZ Ports & Logistics

Critiqués pour leurs liens avec l’ancien président, les deux groupes agro-industriels ont lancé une vaste campagne de communication en vue de résonner jusqu’au sommet de l’État.

« Olam et Arise sont des sociétés écrans appartenant toutes à Bongo et leurs associés », « Gagan Gupta n’a jamais investi au Gabon, il a participé au détournement des fonds »… Dans le collimateur des internautes gabonais et face à une avalanche de critiques au lendemain du coup d’État du général Brice Oligui Nguema, Olam et Arise sont montés au créneau pour défendre leur bilan.

Influents dans divers secteurs, de l’agro-industrie aux infrastructures, en passant par la logistique ou encore le transport, le géant du négoce et du courtage de denrées alimentaires et son ex-filiale, spécialisée dans le développement d’écosystèmes ‌industriels, piloté par le serial entrepreneur indien Gagan Gupta, sont accusés de « maltraiter leurs salariés et d’avoir bénéficié d’une série d’avantages sous l’ancien régime ».

  • Related Posts

    ‘This shouldn’t have happened’: Bishop who interrupted church choir in dressing gown apologises

    A bishop who interrupted a church concert in his dressing gown – and told singers to “leave his house” – has formally apologised to the choir.

    Tesla ordered to pay $243m to victims of fatal Autopilot crash

    A jury has ruled that Tesla is partly to blame for the death of a young woman who was hit by an electric car on Autopilot.

    Leave a Reply

    Your email address will not be published. Required fields are marked *